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theorie plus perso
En marge d’Ayn Rand : conclusion sans préméditation
Il est parfois difficile de ne pas laisser sa pensée vadrouiller dans la direction d’une meilleure organisation socio-économique incluant l’élimination avouée des “inutiles”, surtout si l’on estime leur consentement indispensable. Mais après tout ceux...
L’ennemi intérieur
C’est un thème auquel j’ai sacrifié, dans Someone in my head , par exemple, le premier des Fonds de cercueils, sans trop le prendre au sérieux : nos oublis, nos erreurs, nos actes manqués, après tout, ne sont pas bien méchants, puisqu’ils nous laissent...
D’une agression à l’autre
Je l’ai sûrement déjà dit, dans ce blog obèse et incontinent (l’équivalent de deux Pléiades! Pas étonnant qu’on se décourage! Il est temps d’en finir, voire d’en effacer les trois quarts) puisque la pensée n’est pas neuve, tant pis, répétons-le : du temps...
Sur la dépression : tribulations de l’épistémophilie
La dépression est une de mes bêtes noires. D’abord parce que cette prétendue maladie me paraît se proposer le camouflage et la dissimulation du malheur objectif, c’est-à-dire de la menace qu’il fait peser sur le spectateur, tout à la fois comme même (nul...
Paresse et narcissisme, 2
Comment définir le “travail”? Tout le monde s’y casse le nez. Par la rémunération, ça ne colle pas, puisque certains touchent du fric à ne rien faire : touchent, il est vrai, ne gagnent pas. Mais où situer le clampin qui risque un paquet sur des actions...
Paresse et narcissisme
Tueur à gags encalminé à quelques encâblures du port. Recherche de plus en plus fébrile de “niques de viroune” (une expression de ma mère, du patois poitevin, sans doute : des “prétextes à promenade”, à délaisser le boulot), la vadrouille sur Internet...
La quête de l’unité : guérir ou passer le temps?
La base de “mon système”, qui s’est développé à partir de la lecture, à vingt ans, du Baudelaire de Sartre (ouvrage que son auteur jugea ensuite “très mauvais, exécrable même”), consiste à poser, d’un fait d’ego à l’autre, les “petites flèches”, bref...
Pathologie du lien et perfectibilité
Il se peut que je sois dupe des raisons que je me donne, et que ma motivation véritable, quand je lâche son paquet à tel ou tel, soit de l’écrabouiller, de lui mettre le pied sur la tête, d’établir mon dominio sur lui. Que je sois avant tout sadique,...
Pathologie du lien et agressivité
J’en ai déjà parlé dix fois, tant pis, ça fera onze, en attendant la douzième, car je n’arrive pas à penser dans son ensemble ce problème de la pathologie du lien, en liaison avec ce que j’attends de l’homme et l’agressivité apparente – mais effective...
Sites de rencontres, 2 : le blocage
Cette divergence d’objectifs est sans doute une première clef de mes réticences. Tout surpris hier, en vadrouillant dans une galerie de prenez-moi, de trouver la plupart des visages fort agréables à regarder, et de donner tout au plus trente ans à des...
