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Le blog de Narcipat

La fièvre ebayaire comme symptôme narcipatho

26 Avril 2010 , Rédigé par Narcipat Publié dans #Narcipat (le roman)

Mais il mise surtout sur les produits de remplacement de son système propre, qui ne peuvent lui faire faux-bond : allouant, d’abord, quand le soleil brille, une fraction considérable des jours fériés à la cueillette photographique : il s’est même piqué...

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« On ne change pas une équipe qui gagne! »

21 Avril 2010 , Rédigé par Narcipat Publié dans #Narcipat (le roman)

… et de quelle déréliction! Combien faut-il désespérer des hommes pour se réfugier dans le regard d’une photo ou d’un mannequin! Quand je pose à Arnaud la question bête mais inévitable : « Puisque vous aimez tant les gosses, pourquoi donc?… », il commence...

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Pédophilie platonique?

21 Avril 2010 , Rédigé par Narcipat Publié dans #Narcipat (le roman)

Voire. La focalisation sur les lesbiennes, si elle n’est pas exceptionnelle chez un patient masculin, sort assez de l’ordinaire pour qu’on s’y attarde un peu : relevons d’abord l’évidence d’une forclusion du pénis, banni de l’imagerie même sous forme...

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La sexualité d'Arnaud

20 Avril 2010 , Rédigé par Narcipat Publié dans #Narcipat (le roman)

S’il a porté plainte, c’est suite à l’insistance de son avocat, commis d’office mais jeune-loup aux dents longues, fort excité par une affaire qui a défrayé la chronique et pourrait lui valoir accès à la notoriété, ainsi que des revenus substantiels,...

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Le processus de la réprobation vicinale

19 Avril 2010 , Rédigé par Narcipat Publié dans #Narcipat (le roman)

L’histoire d’Arnaud est singulière : cet homme a été arrêté comme suspect de pédophilie, non qu’il ait importuné le moindre enfant, il ne leur adressait pas la parole, ni même un sourire, mais les photographiait, dans les lieux publics, avec un minuscule...

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La pitié illusoire

18 Avril 2010 , Rédigé par Narcipat Publié dans #Narcipat (le roman)

Le cas de Basile est à première vue tout différent sur ce point, puisqu’il se dit particulièrement accessible à la pitié, et qu’à l’entendre, s’il n’a jamais versé une larme sur son propre sort, ses joues ruissellent quand on évoque un enfant, un idiot,...

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Empathie, suite

17 Avril 2010 , Rédigé par Narcipat Publié dans #Narcipat (le roman)

Kelly, à première vue, se situe sous ce rapport à l’opposé, puisque sans en faire étalage il semble convaincu de connaître les hommes et de les deviner. « Au mas, je savais dès le premier jour si un arrivant resterait ou partirait vite. Je repérais les...

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« L'empathie, ça n'existe pas. »

16 Avril 2010 , Rédigé par Narcipat Publié dans #Narcipat (le roman)

D’autre part, si les patients reconnaissent facilement la quête du duel et la négligeabilité intrinsèque de l’objet, la référence à la mère soulève une gouaille et un rejet formel : tarte à la crème! Bien loin de l’auréoler, ils se peignent leur enfance...

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“Choix d'objet” = quête d'un sujet

15 Avril 2010 , Rédigé par Narcipat Publié dans #Narcipat (le roman)

L’altérité, innée ou non, mais résistante, présente une menace mortelle pour un soi en attente de reconnaissance; ce n’est pourtant pas, comme ils le prétendent, d’être un tu potentiel qu’il tire sa validité, et la finesse psychologique à l’usage d’autrui...

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Rejet de l'égotisme anecdotique

14 Avril 2010 , Rédigé par Narcipat Publié dans #Narcipat (le roman)

Et il voudrait bien, en effet, parler pour tous. Mais tout de même il n’en est pas sûr, tant que tous ne se sont pas prononcés : le paradoxe du narcipat, c’est qu’il le sait mieux qu’eux, mais que c’est pourtant à eux de le dire, de trancher, parce qu’il...

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