Pour en finir avec Martin-Chauffier
20 septembre 1943 : « On écrit pour être lu. Mais non point pour le public, je veux dire pour plaire. On écrit pour le lecteur idéal, qui ne vous propose ni la renommée ni la fortune; qui vous impose des exigences. La première, et principale, c’est d’être...
Martin-Chauffier : l’hypervigilance sans lucidité
Ce que je trouvais “admirable” (un adjectif spécieux, attendu mon inaptitude à l’admiration) dans sa lettre à sa fille, c’est l’effort de comprendre une altérité sans dicter un avenir; en réalité LMC ne parle guère que de lui-même, et quand il aborde...
Intermède : le Journal de Louis Martin-Chauffier
Pourquoi ai-je ouvert hier ce volume de la collection Bouquins, Français en Résistance, empletté il y a six mois par pure avarice (3€ au lieu de 30, pour des auteurs dont je ne possédais pas une ligne, quelle affaire!) et directement (c’est tout de même...